Lisière en « faux I-cord » / tricot double face (double knitting)

Revenons sur les lisières au tricot (voir mon article ici) avec une lisière qui est en elle-même une jolie finition.

Je vois souvent ce type de lisière décrit comme une lisière en I-cord. Comme je suis un peu pénible sur la terminologie (que voulez-vous, 10 ans de travail en tant que traductrice laissent forcément des séquelles …) je soutiens qu’il ne s’agit pas vraiment d’un I-cord, mais d’une bordure en tricot double face (double knitting pour les anglophones).

Il y a plusieurs façons d’expliquer et de faire cette lisière – celle-ci me semble le plus facile à retenir, puisqu’on fait exactement de la même manière sur tous les rangs.

C’est une lisière sur 3 mailles, elle concerne donc les 3 premières et 3 dernières mailles du rang. Les mailles glissées sont glissées comme pour les tricoter à l’envers.

Pour les 3 m en début du rg, faire : 1 m end, gl 1 m avec le fil devant, 1 m end. Tricoter jusqu’à ce qu’il reste 3 m à la fin du rg et faire : gl 1 m avec le fil devant, 1 m end, gl 1 m avec le fil devant.

L’aspect précis de la lisière sera légèrement différent selon le point utilisé pour les autres mailles – dans mon échantillon, elle est plus marquée en bordure du point mousse qu’en association avec le jersey. Mais dans tous les cas, vous obtenez une lisière ronde, où seules sont visibles les mailles tricotées à l’endroit. Les mailles glissées sont masquées derrière les mailles tricotées.

C’est une lisière qui demande de l’attention, mais qui permet d’obtenir une jolie finition pour un bord qui restera visible tel quel.

Que pensez-vous de cette lisière en tricot double face ? L’avez-vous déjà utilisée ?

3 types de mailles lisières au tricot

Ah, les mailles lisières, vaste débat !

Comme souvent, il n’y a pas de vérité universelle, juste des situations différentes et des préférences personnelles.

Toutefois, il peut être intéressant d’avoir quelques exemples concrets sur comment traiter la première et la dernière maille de chaque rang.

1 : « Je ne fais pas de lisière » – lisière en jersey

Les personnes qui ont la chance (ou la dextérité nécessaire) d’exécuter la première et la dernière maille de chaque rang avec la même tension que les autres, disent parfois qu’elles ne font pas de lisière, car elles tricotent simplement la première et la dernière maille du rang à l’endroit sur l’endroit et à l’envers sur l’envers.

De mon point de vue, il s’agit bien d’une lisière – en jersey endroit.

Puisqu’on tricote les mailles du bord à chaque rang, c’est assez facile de compter les rangs et relever des mailles proprement, si le modèle le demande.

Comme tout jersey endroit, cette lisière a tendance de rouler vers l’envers du tricot. Cela peut être à la fois un avantage et un inconvénient !

Une lisière qui « roule » peut compliquer la couture pour assembler deux pièces – mais si on maîtrise cette tendance par le blocage ou autrement, et la lisière est bien « propre », on peut assez aisément faire une couture invisible de l’endroit.

Quand le bord reste visible dans la pièce finie, en laissant rouler la maille vers l’envers, on obtient une finition très nette de l’endroit, à condition de ne pas chercher à « dérouler » la maille au moment du blocage.

2 : La lisière en point mousse

Faire une lisière en point mousse est facile – on tricote toujours la première et la dernière maille de chaque rang à l’endroit.

Puisque le point mousse a toujours tendance à « monter moins vite », c’est-à-dire resserrer le tricot dans le sens de la hauteur, une lisière en point mousse va resserrer le bord de l’ouvrage. C’est très utile si vos premières et dernières mailles ont tendance à être plus lâches que les autres (mais bien sûr à éviter dans le cas contraire).

Là encore, on tricote les mailles du bord à chaque rang, ce qui pour beaucoup d’entre nous rend la couture et le relevage des mailles plus facile.

La lisière en point mousse crée une rangée de petites « bosses » au bord du tricot. On aime ou on n’aime pas !

3 : Les lisières à mailles glissées

Pour ces lisières, il y a tant de variations que je ne vais même pas essayer de les dénombrer !

J’en ai échantillonné deux :

a) Tricoter 1ère m à l’end, glisser la dernière m de chaque rg avec le fil devant en prenant la m comme pour la tricoter à l’envers.

b) Sur l’endroit : glisser la 1ère m comme pour la tricoter à l’end avec le fil derrière, tricoter la dernière à l’end. Sur l’envers : glisser la 1ère m comme pour la tricoter à l’env avec le fil devant, tricoter la dernière à l’env.

Pour moi, le résultat est très semblable dans ces deux cas. On peut imaginer plein d’autres de façons de créer ce type de lisière, en tricotant la maille de manière classique ou torse (à l’endroit ou à l’envers).

Dans toutes les variations, après deux rangs, on a glissé chacune des mailles lisières une fois et tricoté la même maille une fois.

On glisse donc les mailles du bord un rang sur deux, ce qui crée une sorte de bord chaînette, qui a souvent tendance à rouler vers l’arrière mais qui peut être ramené à plat avec le blocage.

Le bord ne nécessite pas d’autre finition, la lisière est décorative en elle-même. Cela peut être une excellente option pour les bords des châles, par exemple.

Par contre, je trouve plus compliqué de réaliser une couture propre et de relever des mailles dans ce type de lisière. On n’a tricoté qu’un rang sur deux, et la maille glissée est souvent assez lâche. Pour relever 3 mailles dans 4 rangs (relever 1 maille dans chacun de 3 rangs et sauter le 4ème), on se retrouve à relever 2 mailles dans la même maille glissée, ce qui me pose toujours problème.

Comment choisir ?

Si les explications du modèle que vous tricotez indique un traitement spécifique des mailles lisières, et que le rendu vous convient, il n’y a pas de raison de changer !

Par contre, il est possible que le rendu ne vous convient pas – peut-être simplement parce que vous ne tricotez pas exactement comme la personne qui a créé le modèle.

Comme vous pouvez le voir dans mes échantillons ci-dessus, je n’ai pas encore trouvé la bonne méthode pour que la maille juste après ou avant la lisière de type « chaînette » soit bien régulière. Je fais donc très souvent une lisière en point mousse, tout simplement parce que pour moi, le rendu est plus net.

Peut-être vos lisières chaînettes sont impeccables, mais vous tricotez un gilet et vous devez relever des mailles pour des bandes de boutonnage sur les devants. Vous pouvez décider de tricoter ces mailles lisières en jersey ou en point mousse quoi que disent les explications, pour vous faciliter la finition.

Comme toujours, bien connaître sa propre façon de tricoter et comprendre le fonctionnement des différents types de lisières permet de faire des choix éclairés !

Les mailles lisières – c’est quoi ???

Mais c’est quoi les mailles lisières ?

Les mailles lisières sont simplement les premières et dernières mailles d’un rang au tricot ou au crochet.

On peut avoir 1, 2 ou 3 mailles lisières au début et à la fin d’un rang. Ici on va partir du principe qu’il s’agit d’1 maille (pour simplifier l’écriture).

Pourquoi ces mailles sont particulières ?

  • Si vous réalisez un projet en plusieurs pièces, qu’il va falloir assembler, la maille lisière fait office de marge de couture. Cela veut dire qu’elle est « en plus » des mailles nécessaires pour par exemple obtenir une certaine largeur.
    Il faut vérifier dans vos explications si elles sont comprises dans le décompte des mailles – normalement, c’est le cas.
  • Une maille au tout début ou à la fin d’un rang se comporte souvent différemment des autres mailles.
    • Au tricot, cette maille qui n’est pas entourée de part et d’autres est souvent un peu plus lâche que les autres, ou simplement un peu plus tordue.
    • Au crochet, les mailles en début du rang sont très, très souvent plus serrées que celles qui suivent.

Faut-il traiter les mailles lisières de manière spécifique ?

Au tricot, ça dépend.

Je connais des tricoteuses qui ne font rien de particulier avec leurs mailles lisières, et qui obtiennent tout de même des bords bien droit.

Cependant, la plupart des tricoteuses ont besoin de gérer les mailles lisières de manière spécifique pour éviter qu’elles ne soient trop lâches.

On peut par exemple toujours tricoter cette maille à l’endroit, pour une lisière en point mousse.
On peut systématiquement glisser la première ou la dernière maille du rang, pour un aspect « chaînette » et un bord plus ferme.

Il y a plusieurs méthodes, et souvent les explications vont vous proposer un traitement donné pour les mailles lisières. Essayez, et jugez vous-même du résultat ! Chacun tricote d’une manière très personnelle – ce n’est peut-être pas la méthode recommandée dans les explications qui vous convient le mieux !

Pensez aussi à la fonction de la lisière : va-t-on coudre des pièces ensemble, relever des mailles, ou s’agit-il simplement de laisser le bord apparent ?

Au crochet, on est obligé de gérer sa lisière.

Pour commencer un rang de crochet, le crochet doit se trouver à la hauteur de la première maille – il faut l’y transporter d’une manière ou une autre !

Il existe de très nombreuses méthodes, du plus classique au plus innovant, du tout simple au plus complexe.

Je reviendrai au sujet, bien sûr !

Et vous, comment faites-vous avec vos mailles lisières ?

Quand on peut se passer d’un échantillon

Je sais, je sais, il faut toujours faire un échantillon – je suis la première à le dire. Et je sais aussi que très souvent, on n’en a pas envie !

En réalité, il existe bien des situations où l’on peut s’en passer – et où je n’en fais pas non plus ! Il suffit juste de les connaître, ainsi que leurs limites.

Des projets en rond de faible diamètre

Vous voulez tricoter ou crocheter une chaussette, un gant ou même un col ou un bonnet ?

Sachez qu’un échantillon à plat ne vous dira jamais exactement ce que donnera le même point réalisé en rond.

Au tricot, des infimes différences entre vos mailles endroit et vos mailles envers auront des conséquences importantes sur votre travail à plat et en rond respectivement.

Au crochet, le rendu du point ne sera pas du tout le même en crochetant à plat par rapport au travail en rond.

Et si vous devez réaliser un échantillon en rond, il faut le faire sur deux fois plus de mailles …
Faites donc de votre projet votre échantillon !

Il suffit d’essayer votre chaussette, votre mitaine ou votre bonnet quand vous aurez travaillé quelques centimètres. (Pour une construction classique, assurez-vous d’avoir terminé les côtes et fait encore un petit bout.)

Trop petit ou trop grand ? Vous saurez mieux en juger sur ce travail en taille réelle.

Une manche en guise d’échantillon

Pour les vêtements réalisés dans le sens « classique », du bas vers le haut, on commence en général avec le dos (pour un vêtement fait en pièces à plat) ou par le corps (pour un vêtement fait en rond).

Cela fait pas mal de mailles à faire avant de pouvoir comparer les mesures obtenues avec celles du modèle.

Commencez donc par la manche, sur un nombre de mailles nettement plus petit, mais tout de même significatif. Une fois que vous aurez vérifié les dimensions obtenues, vous pourrez tranquillement laisser votre bout de manche en attente pour vous lancer dans le corps.

Quand la taille n’a pas (beaucoup) d’importance

Très souvent, pour faire un châle, une écharpe ou un autre accessoire qui se porte de manière non ajustée, vous vous passez de l’échantillon.

Tant que vous êtes satisfait du résultat obtenu, vous pouvez bien sûr y aller même si vous travaillez de manière plus ferme ou plus souple que prévu dans les explications – à condition d’être un peu aventurier.

En effet, votre échantillon aura des conséquences sur la consommation de fil et sur la taille finale de votre accessoire.

Si toutes vos mailles sont un peu (ou beaucoup) plus petites que celles du modèle initiale, vous obtiendrez par exemple une écharpe plus étroite et plus courte.

Si toutes vos mailles sont un peu (ou beaucoup) plus grandes que celles du modèle, vous allez consommer plus de fil, et vous ne pourrez peut-être pas terminer votre ouvrage selon les explications données.

Si vous acceptez d’improviser la phase finale du modèle, ou de racheter du fil – aucun problème ! Il suffit juste de savoir que ce risque existe.

Sur ce, je vais aller tricoter quelques rangs de plus sur mon bonnet en cours. J’ai une tête plus grande que la moyenne, j’ai donc choisi un numéro d’aiguilles plus grand que celui indiqué dans les explications. Je suis à quelques centimètres au-dessus des côtes, et je viens d’essayer – le bonnet me va bien ! Je vais a priori consommer plus de fil que prévue, mais j’ai du rab – et si j’en manque quand même, je compléterai avec une autre couleur dans la même grosseur.

Parce que effectivement, c’est un projet pour lequel je n’ai fait aucun échantillon !

Compter les rangs avec un fil

J’ai pris le temps pendant les fêtes de faire un peu de tricot loisir. J’ai commencé à tricoter une manche du haut vers le bas, avec des diminutions à espacer régulièrement. Pour me faciliter la tâche, j’ai utilisé la technique simple d’un fil de couleur contrastante – vous connaissez ?

Si vous n’avez pas encore essayé, j’ai un tuto qui en parle (et ça marche bien sûr aussi bien pour les diminutions que pour les augmentations, et pour compter les rangs en général).

Le blocage – questions et solutions !

Le blocage, c’est quoi ?

Le blocage, ou la mise en forme, est la dernière étape pour sublimer votre ouvrage de tricot ou de crochet.

Quand vous avez formé votre dernière maille et rabattu ou arrêté le fil, le blocage permet de donner la forme souhaitée à votre travail, d’égaliser vos points et de mettre en valeur les points ajourés.

Il y a différentes méthodes pour bloquer un ouvrage, mais quelle que soit la méthode choisie vous allez

  • humidifier votre ouvrage,
  • lui donner une forme, et
  • attendre que ça sèche.

Est-ce que le blocage est indispensable ?

Parfois, non. Vous pouvez parfaitement aimer l’aspect de votre ouvrage tel quel et sauter cette étape.

Mais très, très souvent, votre travail sera vraiment plus réussi avec un blocage.

Si vous tricotez ou crochetez un châle en dentelle (même un point ajouré tout simple), je ne peux que vous inciter à bloquer votre travail avec soin – c’est seulement après cette étape que le point s’ouvrira et montrera pleinement sa beauté.

Si vous réalisez un objet ou un vêtement avec plusieurs pièces à assembler, votre tâche sera vraiment facilitée par un blocage au préalable.

Vous l’aurez compris, je suis une adepte du blocage !

Comment faire ?

Il y a deux façons de humidifier votre ouvrage :

  • le tremper dans l’eau
  • lui appliquer de la vapeur.

1) Blocage par vapeur

Une très bonne méthode pour les petites pièces !

Épinglez votre travail sur une surface résistante à l’humidité, aux épingles et à la chaleur (votre planche à repasser est un support idéal si les pièces sont petites).

Passez votre fer à repasser quelques centimètres au-dessus – sans toucher ! – en expulsant autant de vapeur que possible.

Laissez bien refroidir et sécher avant d’enlever vos épingles.

2) Blocage par trempage

Il y a plusieurs façons de faire, voici ma méthode préférée :

Laissez tremper l’ouvrage terminé dans de l’eau pendant au moins 20 minutes, pour que les fibres absorbent bien l’eau.

Attention : si votre ouvrage comprend plusieurs couleurs, il faut faire attention au risque de décoloration qui existe toujours, même avec les fils issus de filatures de qualité. Si votre fil est en laine, alpaga ou une autre fibre animale, ajoutez un peu de vinaigre blanc dans l’eau pour fixer les couleurs. s’il s’agit de coton, lin ou une autre fibre végétale, essayez avec un peu de sel. Surveillez la couleur de l’eau, et ne prolongez pas le trempage inutilement.

Pour ma part, si je prévois d’utiliser des couleurs très contrastées, je fais en général un petit échantillon rayé avec les différentes couleurs. Je soumets cet échantillon à un test au préalable, en laissant tremper l’échantillon dans un bol blanc et en le laissant sécher sur un linge blanc. S’il y a un problème, il vaut mieux le savoir avant plutôt qu’après avoir tout tricoté ou crocheté !

Une fois le trempage terminé, sortez l’ouvrage de l’eau en le ramassant bien dans vos mains, pour éviter toute déformation. Je presse mon travail entre mes mains, sans tordre, pour enlever une partie de l’eau.

Ensuite, je pose mon ouvrage sur une serviette éponge propre en l’étalant un peu (sans vraiment tirer), et je roule la serviette avec mon projet à l’intérieur. Pour bien essorer, je marche sur le rouleau !

En déroulant à nouveau la serviette, l’ouvrage est humide mais non trempé – c’est parfait pour passer à l’étape suivante, l’épinglage.

Étalez le travail sur une surface appropriée (toujours résistante à l’humidité et aux épingles). Il y a des dalles en mousse spécifiques pour cet usage – j’utilise depuis de nombreuses années de grandes plaques en polystyrène (?), un matériau d’isolation trouvé en grande surface de bricolage.

Ensuite, petit à petit, j’épingle en tirant plus ou moins sur mon travail selon l’effet souhaité. Parfois, il suffit de couvrir la surface de blocage avec une serviette éponge sèche et lisser avec les mains – la surface un peu rugueuse de la serviette suffit pour maintenir en place. Mais souvent, il faut des épingles ou d’autres accessoires (voir plus loin) pour bien tirer et ouvrir les points, et ensuite tout maintenir en place.

Un mètre de couturière est utile pour vérifier les dimensions obtenues, et la symétrie (pour les formes symétriques, bien sûr !).

Une fois que tout vous semble bien, laissez bien sécher !

Et le repassage ?

Évitez absolument de repasser en posant votre fer sur votre travail – sauf si vous souhaitez écraser vos mailles et perdre leur relief. En plus de cela, si votre fil contient des fibres synthétiques, vous risquez de les faire fondre. S’il contient des fibres naturelles, vous risquez de les brûler et leur faire perdre leur douceur et leur élasticité.

Il n’y a bien sûr pas de règle sans exception. À condition de procéder avec prudence, vous pouvez tester le repassage sur un échantillon en lin, ou poser un petit motif en fil synthétique entre deux linges et repasser (sans jamais toucher la fibre synthétique avec votre fer) – parfois le résultat peut être une bonne surprise !

Les accessoires pour le blocage

Il n’y a pas besoin d’un équipement sophistiqué pour le blocage – mais il y a des outils qui facilitent la tâche !

1) Les tiges de blocage

C’est fastidieux et parfois difficile d’épingler des lignes droites comme les bords d’une étole, les côtés d’un châle triangulaire, ou des grands carrés tricotés ou crochetés. Les tiges de blocage peuvent être une aide très utile. Vous pouvez les passer dans le bord lui-même, ou dans les arceaux d’une bordure festonnée. Elles sont maintenues en place avec des épingles ou des peignes de blocage.

Les tiges ne sont pas complètement rigides, et certaines sont plus flexibles que les autres. Elles peuvent alors être utilisées pour de grands arrondis.

Le tiges de blocage sont disponibles dans la boutique – cliquez ici !

2) Les peignes de blocage

Attention, ça pique ! Mais les peignes de blocage sont ultra pratiques pour les échantillons, les carrés qu’on veut garder bien rectilignes, ou pour maintenir en place les tiges de blocage.

Chaque peigne joue le rôle de plusieurs épingles en ligne droite – cela permet un gain de temps considérable.

Pour voir les peignes de blocage dans la boutique, cliquez ici !

3) Les épingles

L’outil de base pour maintenir en place vos pièces pendant le séchage. Faites attention à n’utiliser que des épingles bien brillantes pour les coloris clairs, pour éviter qu’elles laissent des traces.

Je préfère largement des épingles à tête ronde, pour ne pas me faire mal aux doigts et pour bien les voir et les enlever avant de retirer l’ouvrage après séchage. C’est particulièrement important si vous avez profité de l’absence de votre mari pour bloquer un châle sur son matelas, croyez-moi.

Retrouvez les épingles à tête ronde dans la boutique en cliquant ici.

Et vous, que pensez-vous du blocage ? Vous aimez faire comment ? Dites-le moi dans les commentaires !!!

Réponses à vos questions – le replay du direct du 10 mars 2021

Questions abordées dans ce direct :

02:45 Gestions des rayures au crochet – comment gérer votre fil, y compris pour des rayures d’un seul rang.
23:40 En crochet mosaïque, est-ce qu’il y a moyen de réaliser le motif sans couper le fil à la fin de chaque rang?
42:50 Sur la base de quel calcul procéder si l’on souhaite tricoter un ouvrage comportant des parties faites avec des fils de diamètres différents ?

Direct YouTube ce mercredi à 17h30

Le direct est de retour – pendant une heure sur ma chaîne YouTube, je réponds à vos questions sur le tricot ou le crochet.
Si vous ne pouvez pas assister au direct, un replay sera disponible dès le lendemain.

Vous pouvez poser vos questions tout de suite et jusqu’à mardi soir dans les commentaires ci-dessous !

À mercredi !